Hello les Mañaners 🎸
Cette semaine, on a achevé la promo #2 de notre Bootcamp “Devenir facilitateur en intelligence collective”. 😃😃
Et on a beaucoup parlé de SE VENDRE. La peur que cela représente de prospecter, de transformer des leads en clients, d’utiliser Linkedin comme moyen de se faire connaître…
Et autant dire que les croyances limitantes s’invitent souvent à la table de la négo…
Alors comment dépasser tout ça ?
Dans ce mini cours, je te partage mes “Trois leçons pour vaincre le syndrome du marchand de tapis”.
🧡🧡🧡🧡🧡🧡 Coeur sur la promo #2 🧡🧡🧡🧡🧡🧡
👉 Et pssstt - La promo #3 pour devenir Facilitateur démarre en juin, plus que 4 places dispos !!
Avant j’étais terrifiée à l’idée de vendre.
Parce que j’avais peur de déranger ou de quémander.
Puis j’ai réalisé que...la vente, c’est comme la drague.
Plus tu forces, moins tu conclus.
Après trois ans à tâtonner, je suis passée de :
“J’ai horreur de V*****💩” (J’osais même pas dire le gros mot) »»»
à “La vente, c’est trop cool 😎”.
J’ai pris conscience des 3 trois choses suivantes :
1. La vente n’a rien à voir avec l’argent
Si tu n’y crois pas, essaye de vendre une bouteille d’eau à un assoiffé dans le désert.
💦 Il sera prêt à payer 1000E, même pour une seule goutte.
Il s’agit de répondre au bon besoin, à la bonne personne, au bon moment. 🎯
👉 Si un client potentiel te trouve trop cher :
Soit il ne comprend pas la valeur de ce que tu proposes. À toi de clarifier les bénéfices de ce que tu as à lui apporter.
Par exemple, montrer ce que tu as fait pour d’autres clients, mettre en avant les résultats et les retours de ces derniers…
Soit il n’a pas le budget et il veut négocier. Identifie les choses les moins importantes à sortir du projet pour réduire le coût.
Petit conseil de Tata Sonia 😂 Ne travaille jamais Gratos ou tu laisseras penser que ce que tu fais n’a pas de valeur.
Soit il n’est tout simplement pas prêt. Ce n’est pas le bon moment pour lui. Garde le lien, continue à lui apporter de la valeur, il reviendra au moment voulu.
Sur la question de l’💰 , je me suis fait coachée par la génialissime Saida, et ça m’a aidé à dépasser mon insécurité.
2. Vendre, c’est faire des rencontres
Je me suis aperçu que vendre = réseauter.
70% des missions que je décroche parviennent de mon réseau. Et souvent par recommandation de mes pairs.
Tes pairs sont des alliés, pas des concurrents. ☀️ Le soleil brille pour tout le monde.
Réseauter, ok. Mais avec la bonne posture.
→ Crée des relations basées sur la réciprocité. Face à un prospect, sors de la position d’infériorité. Il a autant besoin de toi, que toi de lui. Le mode “mort de faim” n’a jamais aidé personne à vendre.
→ Arrête de vouloir absolument pitcher. Pose des questions, écoute, reformule…Intéresse-toi sincèrement. C’est tellement rare d’être vraiment entendu, que ton interlocuteur ne pourra que s’en souvenir.
→ Lâche prise. Si un projet doit se faire, il se fera.
3. Vendre, c’est avant tout donner
Pour faire venir les clients à toi (plutôt que leur courir après 🏃🏻♀️), tu dois leur apporter de la valeur, les aider, leur donner envie d’aller plus loin.
👉Comment? En partageant, du contenu, en filant un coup de main, en faisant un mini-audit…
Plus tu donnes, plus tu reçois. 2022 : l’économie du partage !
En étant dans la générosité sincère, tu crées une sorte de “dette morale”. Ton prospect te garde à l’esprit.
Je te conseille de passer 1/3 de ton temps à produire du contenu et créer de la preuve sociale. (ex : réseaux sociaux, newsletter, podcast, livre blanc,…)
🪂 Alors prêt à te lancer ? Réponds-moi pour me dire ce qui tu en as pensé, tes retours sont hyper précieux ! (je réponds à tout le monde).
Pour aller plus loin et apprendre à se vendre en tant que facilitateur…
La promo #3 démarre en juin, plus que 4 places dispos !!
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❤️ sur vous !